L’indispensable 

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L’indispensable nécessaire à la vie sur terre

Les ingrédients primaires :

IL FAUT 

Les ingrédients primaires : IL FAUT DE LA MATIERE

telles les particules élémentaires qui forment entre elles les atomes, des atomes et des molécules, qui forment entre eux de grandes molécules, complexes, et des matières indispensables, telles l’eau, l’air, les substrats, les matières nourrissante (C, N, H, O, oligo-éléments, sels, énergiseurs (sucres), catalyseurs.

 

IL FAUT DE L’ENERGIE

et du coup, considérer forces, mouvements, vitesses

Il faut du soleil : de la lumière (énergie radiative) et de la chaleur (énergie thermique) 

Des forces d’interraction de base: gravitationnelles, électriques, magnétiques, électro-magnétique, interraction nucléaire forte et interraction nucléaire faible

Ces forces témoignent d’énergies dites cinétiques (fixes) ou en mouvement, quelles soient radiatives (EM), thermiques, induites par le mouvement d’un objet ou d’un son ou sous forme d’énergies potentielle ou stockée, telles les energies chimique, nucléaire, mécanique, ou électrique.

il faut un souffle d’indépendance auto-organisee

ADN, ARN, génome, enzymes, protéines et lipides formant des cellules, sont associées à des systèmes ou des choses comme des « réseaux » de la vie

 
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Si on ne meurt pas, on ne vit pas

La vie se transmet et s’entretient

LA VIE NE SE CREE PAS, ELLE SE PORTE,

SE SUPPORTE ET SE TRANSPORTE

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Introduction

Des interdépendances de la vie à sa transmission

 » Du principe simplifié de la petite graine qui transporte toute information nécessaire au développement ultérieur de son propre système, puis de celui de sa descendance.

La composition de la vie universelle sont aussi des bits d’informations véhiculés par des système complexes de particules sensibles, interractives avec leur environnement, adaptées à la reproduction, à l’évolution même du système, et à l’adaptation de l’espèce de système.

 

Les définitions « officielles » de la vie

– La vie est un système chimique auto-entretenu qui obéit à la théorie de l’évolution darwinnienne (Nasa, 1992).

– La vie est un système vivant inclu tout système ouvert ( = recevant énergie et matière) capable de faire plus de lui-même par lui-même et d’évoluer.

– La vie ou autopoièse. Un système autopoiétique est organisé (=unité) comme réseau de processus de production (transformation et destruction) de composants, produisant ainsi d’autres composants qui, par ces interractions et ces transformations, constamment régénèrent et réalisent continûment le réseau de processus, et constituent comme une unité topologique concrête, séparée de son environnement par une frontière réelle, mais relié à l’environnement à elle par une interraction adaptive ou cognitive avec lui (postulats corrigé de Maturana, Varela, Damiano, Luisi, 1996)

– La vie ici et maintenant : est un système vivant capable d’automaintenance par l’entremise d’un réseau de processus régénératifs se déroulant à l’intérieur d’une frontière de sa propre fabrication

Autrement dit: Le mystère de la petite graine. Un mystère ? non, une logique si complexe qu’elle semble insaisissable. Tout organisme vivant (à tous les stades de son existence) est ainsi :

Semblant de concensus :

Toute vie, globale (système, société, espèce) ou indépendante (être, végétal ou animal), est formée donc un enchevêtrement particulièrement complexe et ordré, représentant un système, une famille ou une « espèce » auto-organisés, indépendant par une frontière extérieure, qui s’auto-reproduit, évolue et s’adapte tout en interragissant avec l’extérieur de son propre système (l’environnement).

Pour fonctionner, il est donc nécessaire de se trouver dans un bain d’énergie et d’inclure l’interdépendance matérielle avec l’environnement extérieur à sa frontière pour le maintien de ses fonctions. Tout système vivant redeviendra après un temps donné une matière sans vie, offrant à son tour aux autres systèmes vivants et indépendants cette possibillité d’interdépendance avec le système extérieur, tout en transmettant l’information utile au système via son génome (ou code génétique) qui transportent une multiplicité d’information quand à l’organisation à mettre en place pour optimiser le système (phase adulte en capacité de reproduction).

Cette possibilité informative de croître se porte de génération en génération. L’histoire de l’oeuf et de la poule, encore une fois ! Et la physique de la mise en place des choses déploie ici toutes ses subtilités.

En résumé donc, des conditions physico-chimiques sont réunies pour pouvoir transmettre plus loin une petite graine isolée dans un environnement donné (et dans des conditions physico-thermo-chimiques réunies) laquelle pourra germer, grandir et à son tour, et réunir les conditions propices à la création au sein de son système de maintenance, d’un processus de reproduction de petite(s) graine(s) qui une fois isolées de la graine – mère, poursuivront le processus de maintien de l’espèce formé par l’ensemble des petites graines de cette même espèce.

 

A deux, c’est mieux!

« Bien souvent, les réactions de la vie sur terre commencent avec deux particules électroniques qui élaborent leur plan de construction. Ces particules jointes se joindront à d’autres, et formeront une multiplicité de molécules. Certaines de ces dernières – comme la famille ACGT par exemple – forment alors un code génétique, chaine de noyaux ou de nucléoitides, lesquels élaborent aussi leur plan, se liant à des phosphates, des glucides, des minéraux, des lipides, des enzymes, pour aboutir peu à peu la la cellule primitive unique. La vie. »

Parallélisme: « Bien souvent, les actions de la vie sur terre commencent avec deux idées qui se rejoignent pour élaborer un plan de construction. Ces générateurs d’idées se joindront à d’autres, et formeront la multiplicité de cette réalité. Si l’idée termine bonne (la moins risquée et la plus évolutive), alors les deux particules d’idées primaire seront la base d’une évolution qui sera traduite dans l’action de la réalité ».

Un couple se forme. Joints à leurs descendants, ils formeront une famille. joints à d’autres, il formeront une amitié, un clan, un village, une ville, une nation. Tous se nourrissent de glucides, protides, de glucides, de vitamines, d’oligo-éléments ou d’enzymes, pour vivre et se développer, …

Les principes se ressemblent à toutes les échelles. N’est-il vrai ?

L’évolution de la vie a passé et passera par ces multiples organismes cellulaires ou multicellulaires complexes, lesquels traverseront différents stades de mutations (adaptation à l’évolution ou à l’environnement) et de copies (on se multiplie tel qu’on est quand tout va bien)

Par le jeu de la sélection, ce processus est en constante amélioration et tend à des formes de vie hautement organisées que nous connaissons.

(voyez également le chapitre sur indispensables réseaux et cycles

 

TABLEAU EVOLUTIF de base

Pour mieux comprendre ce qui nous entoure dans la vie de tous les jours, abordons dans un tableau suivant les notions primaires des matières vivantes, leur différence avec de celle que l’on définit comme des matières non-vivantes. De quoi approcher encore mieux la définition de la vie.

Remarque:

Plus on descend dans le tableau, plus un système est évolué, et plus il tend à évoluer vers une organisation qui va en se complexifiant d’une espèce à l’autre.

Toute la puissance de l’univers en un coup d’oeil.

Outre le vivant, il y a la matière et la forme, pour toute matière, vivante ou non-vivante.

Ainsi des briques élémentaires de matière unifiées, puis organisées en réseaux de processus, donna la vie qui se multiplia, sous toute ses formes.

Ne pas hésiter à se replacer dans l’histoire pour mieux analyser le présent.

Il y a longtemps que l’homme s’interroge sur les constituants les plus petits de la matière. Au IVe siècle av. J.-C., les philosophes grecs Leucippe et Démocrite émettent l’hypothèse que toute matière est composée de particules minuscules, invisibles à l’œil nu, en mouvement perpétuel, très solides et éternelles : les atomes, du mot grec atomos qui signifie indivisible.

 

Démocrite (460-370 av. J.-C.), philosophe grec, développe la théorie de l’atome: « l’Univers n’est constitué que d’atomes et de vide, tous les corps sont formés par des combinaisons d’atomes ».

Il a fallu plus de vingt siècles pour que ce concept resurgisse : au début du XIXème, après avoir étudié de nombreuses réactions chimiques, John Dalton établit que chaque substance chimique est formée d’atomes, indivisibles.

En 1811, Amedeo Avogadro émet l’idée que les atomes se combinent pour former des molécules et évalue la taille des atomes.

A la fin du XIXème, on constate que les atomes sont divisibles.

Et à la fin du XXème sièce, nous avons aujourd’hui connaissance de familles de particules élementaires, tels que les neutrinons, les leptons, et autres. Et nous savons que que ce sont les interactions entre particules élémentaires qui entraînent la formation des objets qui nous entourent. L’histoire de la découverte des particules élémentaires est donc intimement liée à celle de leurs interactions.

Issues des familles particules élémentaires existantes, souvent interdépendantes que sont les électrons, protons, bosons, neutrons, s’ordonnent des particules et des forces élementaires que représentent les différents bosons, quarks, neutrinon, photons, électrons, lesquels sont souvent dotés de propriétés et de forces d’interractions faibles, électromagnétiques, ou faible, passionnantes.

De la dimension

des particules élementaires à (de) l’univers.

La taille des choses sur http://www.documaga.com/wp-content/uploads/2010/02/scaleofuniverse.swf

De l’infiniment petit à l’infiniment grand, niveaux d’organisation

Niveaux d’organisation

0

élementaire

1

atomique

2

moléculaire

3

ADN, ARN, génomiques enzymatiques, protéiques

4

niveau cellulaire

5

niveau de l’être vivant (organique)

6

système terrestre

7

système solaire

8

système notre galaxie

9

système inter-galactiques

Si l’on englobe l’infiniment petit et l’infiniment grand: c’est le tout. Le tout est donc bien formé de toutes les parties.

L’émergence qui veut que le tout soit plus que l’addition des parties se vérifie par la théorie de la complexité des réseaux et des systèmes que les parties produisent.

Mais UN tout n’est pas LE tout, car il peut aussi être considéré comme bien davantage que la somme des parties qui le compose.

Un système plus complexe étant né que tout partie prise séparément.

L’univers, tel qu’on l’entend dans son immensité est majoritairement formé de matières élémentaires, d’atomes, plus spécialement de plasma, de charges gazeuse d’ions ou de particules chargées ou neutres, laquelle matière compose la majorité de l’univers qui nous entoure. De leurs enchêvetrements, recherche d’équilibre, additions de parties, réactions, naissent les matières solides, liquides, gazeuses, telles que nous les connaissons, surtout sur terre.

Il existe ainsi selon la connaissance dite humaine de l’ère présente, quelques 112 atomes (plus depuis), mais surtout plusieurs milliers de combinaisons isotopiques différentes (arrangement propre de l’atome), lesquelles donneront leur à de multiples combinaisons, à savoir des dizaine de milliers de molécules et autres associations de molécules. En fait les atomes, et les molécules ne sont que l’association de particules élementaires, retenues par des forces d’attraction et de répulsion énormes (chimie nucléaire et atomique – liaisons électroniques)

Certaines de ses molécules et atomes comme le carbone, l’hydrogène, l’oxygène, l’azote, l’eau, constituent ainsi la base de toute matière vivante (laquelle comprendra également souvent d’autres éléments tels phosphore, sodium, chlore, ou encore le fer, le zinc, le magnesium, et bien des subtilités de réactivités moléculaires.

L’organisation spatiale et les interractions des atomes et molécules permet ainsi des formes aussi variables que des corps solides, liquides, ou gazeux, selon leur condition de température et de pression du mileu dans lesquelles ils baignent. On tourve ainsi des millions d’arrangements possibles.

Outre les substrats, cet enchevêtrement porte également la vie au sein des substances. On l’appelle aussi matière vivantes, protoplasmes et cie.

C’est ainsi que protéines, ADN (ACGT – Sucres – Phosphates), s’organisent. Etc.

Cette organisation permet la création de cellules qui dans un milieu donné, ont pu aboutir à la vie, qu’elle transmettent. L’information y est ordonnée comme leur géométrie spatiale.

Naissent alors les organismes multi-cellulaires, et là des milliards d’atomes y sont réunis.

Enfin croissent les ETRES vivants, végétal, animal, ou/et humain.

C’est ainsi qu’un corps humain compte quelques que 10 E 28 atomes, soit des milliards de milliards de particules.

La matière vivante vit en communauté de vivants. On constate une certaine organisation des communautés

La terre ou les astres astres planétaires: l’écosystème terrestre, regroupe ainsi 10E51 atomes

Le soleil, et système solaire, 10E60 atomes

La voie lactée contiendrait 10E70 atomes

et selon les calculs, l’univers contiendrait approximativement un peu plus de 10E80 atomes ou 1E110 à 1E137 particules élémentaires

https://www.youtube.com/watch?v=9SJSoRJemEs&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=cDd8R0xlkNA&feature=youtu.be

En vidéo ci-dessus, la fameuse mandelbule qui à mon avis représente les formes physique les plus probables de l’univers et des interractions à tous les niveaux de son contenu.

Toutes ces matières, soit la nature qui composent l’univers et les êtres de l’univers, (…) et la vie sur terre, se forment voire évoluent grace à différentes forces d’interractions entres elles, ou en leur sein.

Si toutefois, les particules d’un niveau inférieur ne peuvent se rendre compte de la multiplicité des niveaux supérieurs, toute ce qui compose le niveau le plus grand est formé de niveaux inférieurs.

Particules, atomes, molécules, cellules, organismes, corps, astres, tous se retrouvent à différents niveaux (c’est le cas pour l’élémentaire de bas qui se retrouve dans tous), et tous sont soumis et répondent à des forces d’intéractions de différents ordres.*

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  1. gravitationnelles (on tombe ou ne tombe pas)

  2. magnétiques (on s’attire ou pas),

  3. électriques (c’a décharge, ça brûle, c’a circule),

  4. électromagnétiques (c’a réchauffe, attire, , décharge, vibre, ou dégage de l’énergie)

  5. nucléaire ou CEM forte (on explose ou on crée des nucleus, noyaux primaires)

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Pensée, réflexion, logique

Si le coeur est un muscle, et un muscle un moteur organique, tous sont issus d’un développement « le plus simple et le plus optimal » d’une matière organique noble, indépendante, apte à évoluer et se reproduire, et en interraction complète avec le système auquel elle participe.

Il en va de même pour toute la complexité de la diversité des manifestations de la vie…

De la NUCLEOSYNTHESE  primordiale à l’univers d’aujourd’hui.

Selon ce modèle, et «très certainement grâce » à une chaleur de l’ordre du milliard de degrés, des atomes légers ou plus lourds se sont formés par les interractions de particules élémentaires lors de premiers instants de l’univers. D’ailleurs, les étoiles ne fabriquent-elles constamment de l’hélium grâce à la fusion de l’hydrogène.

Pour les étoiles plus massives, lorsque l’hydrogène est épuisé en son centre (entièrement transformé en hélium), l’hélium fusionne à son tour pour donner des éléments plus lourds, carbone, oxygène, néon.

Il existe un autre phénomène : le phénomène de spallation. Les rayons cosmiques hautement énergétiques brisent les atomes de carbone, azote et oxygène en atomes plus petits (6Li, 7Li, 9Be, 10B, 11B, He, H…).

Grâce à la combinaison de ces 3 modèles de la nucléosynthèse stellaire, de la nucléosynthèse primordiale et de la spallation, les abondances de tous les atomes peuvent être expliquées.

Étoile de > 0,3 masse solaire > Étoile de 1 masse solaire > Étoile de 25 masses solaires
fusion de l’hydrogène: 800 milliards d’années > 10 milliards d’années > 7 millions d’années
fusion de l’hélium s’arrête avant d’atteindre 500 000 ans
fusion du carbone s’arrête avant d’atteindre 200 ans
fusion du néon 1 an
fusion de l’oxygène 5 mois
fusion du silicium 1 jour

Pie XII eut dit : !
Et la lumière fut !

« […] Avec le même regard limpide et critique dont, il [l’esprit éclairé et enrichi par les connaissances scientifiques] examine et juge les faits, il y entrevoit et reconnaît l’œuvre de la Toute-Puissance créatrice, dont la vérité, suscitée par le puissant « Fiat » prononcé il y a des milliards d’années par l’Esprit créateur, s’est déployée dans l’univers […]. Il semble, en vérité, que la science d’aujourd’hui, remontant d’un trait des millions de siècles, ait réussi à se faire témoin de ce « Fiat Lux » initial, de cet instant où surgit du néant avec la matière, un océan de lumière et de radiations, tandis que les particules des éléments chimiques se séparaient et s’assemblaient en millions de galaxies. »

Aussi, Pie XII s’empressa de dire que la science n’avait pas plus raison que la religion !

Voire que la religion et la science ne feraient qu’un !

Le problème, c’est que selon la Genèse, Dieu aurait d’abord créé le ciel et la terre, puis enfin la lumière et ensuite seulement, les étoiles ! soit disant pour éclairer la terre ! (…un bon soi-disant)

Pie XII a semble-t-il certes occulté cette vision de présentation ! et aurai-t-il donc même modifié l’ordre de la Genèse qu’il défend. La voici ainsi revue par la science et de facon logique!

Car si Dieu existe, il n’est qu’une réponse scientifique à l’ordre des choses établi dans le temps, ou alors il serait le scientifique qui a su ordré tout cela, mais ce serai l’humaniser à outrance. Sa vraie dimension est ailleurs. Et certes, cela est grand, cela est bon, pour tout vivant qui respire !

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Tout est mouvement

De rien (…)

voire de la disparition ou de la régression d’un univers au néant, comme de l’éventuel enchevêtrement de deux univers parralèles qui s’attirent tout en étant perpetuellement imbriqué (voir images)*

(…) est né un mouvement. Depuis, tout est mouvement.

Un bruissement, «une lumière», une onde électromagnétique (onde EM = un rayonnement électromagnétique désigne une perturbation des champs électrique et magnétique et la «lumière visible» n’est une petite tranche du large spectre électromagnétiquequi inclu les rayons radio, visible, X, beta, et gamma pour les énergies les plus hautes).

fiat big lux no bang ! et de quoi expliquer pourquoi l’univers est si grand.

La quantité de mouvement d’une particule dont la variation est souvent appelée à tort « impulsion » par anglicisme, était « p=mv », le produit de la masse par la vitesse. La mesure de la vitesse de lumière (Maxwell) démontra qu’il s’agit d’ondes électromagnétiques. 

Chaque photon «emporte» une quantité d’énergie déterminée, valant E = h·ν, h étant la constante de Planck (6.6E-34 J ou dimensions d’une énergie multipliée par un temps) et ν la fréquence.

E= hv (kg*m/s)

Le quantum d’action, également appelé constante de Planck réduite, ħ=h/2 π ≈ 1,054571628E-34 J.s,
La valeur en électron-volts-secondes équivaut à ħ ≈ 6,582 118 99×10-16 eV.s,
p = ħ.ν / c (impulsion du photon)

La science dit nous apprendre que

L’onde (comme des faisceau de lumière à haute température ou superlasers radiatifs) a tourné, tourné, emplissant de dense, cet univers formé de rien d’autre que des ondes qui se croisent et se recroisent.

De nouvelles ondes sont nées du choix des premières, et issues des frottement d’onde initiales. Cela a peu à peu formé un immense champ d’ondes à haute énergie, établies à la taille de l’univers de l’époque (il y a plusieurs centaines de milliards d’années) et d’une forme avoisinant les équations theoriques.

Ce champ d’onde, ce mouvement de forme sans structure, ce «rien» que des ondes (ou un autre phénomène aussi énergétique?) a peu à peu, produit une énorme énergie (température de l’ordre du milliards de degrés) (comme de multiples faisceaux lasers à haute température ou superlasers qui se superposent, sans masse définissable, ou non matière)

L’énergie de l’ensemble s’est accrue et la température aussi, pour atteindre enfin des milliards de degrés ! Quels frottements, quelles ondes, quelles lumières !

Ces champ d’onde concentrés répartis dans l’univers, et une chaleur 1E10 Kelvin ont ensemble produit «de la matière primaire» (lumineuse car en fusion) et ce dans toute la zone couverte par les ondes ou les conditions de cette nucléosynthèse primaire sont remplies.

Un peu comme si dans un atmosphère vide et dénué de nuages apparaissent d’un coup, dans ces conditions, des nuages de particules gaz, comme des courbes sinusoidales et cosinusoidales tridimensionnelles, et en différents endroits ou rien ne semblait exister, hormis une énergie d’ondes et de mouvement plus concentrée par endroit que d’autres.

Le mouvement des masses de gaz élementaire et une température élevée diversifiée, engendrera des fusions nucléaires dans les atomes primaire. Il s’agit là de nucléosynthèse primaire et secondaire (H > He puis C, O, N, F, Ne, voire pour des lieux tels les supernovas, des atomes lourds fissibles ou rares.

La «forme» du champ d’onde initial aura ainsi – formé toute la STRUCTURE (tout en maintenant LA FORME) de l’ensemble de l’univers tel qu’il nous apparait (à la vitesse de la lumière).

Supernovas, quasars, des choses dont nous percevons juste la dimension mais point la réalité de la situation présente, tant le nombre d’année qu’à mis la lumière pour nous parvenir est grand! 

Ces galaxies qui contiennent les étoiles lesquelles sont pour l’immense majorité, formées principalement de gazs bouillonnants en fusion. Le tout tend plutôt donc à l’expansion, et donc à une période plus froide que lors dudit Big-bang ou les températures incroyables ont permis à la matière d’émerger, accompagnée d’énergie et d’onde lumineuse ou électromagnétiques en mouvement !

Les galaxies, les supernovas comme les ejectas d’étoiles entrainent ainsi de multiples synthèses atomiques, qui en se refroidissant, donneront une matière solide selon CNTPE (conditions normales de température et de pression et d’environnement)(C, Li, Fe, Mg, Si, Al,…)

Peuvent ainsi apparaître dans l’univers des astres solides «plus froids», tels les planètes – les astéroïdes.

Etre maintenu en orbite autour d’une source de chaleur: une des conditions initiales pour développer la vie telle que nous la connaissons ! (et un processus qui prend naturellement des millions d’années).

L’HISTOIRE en résumé imagé ….

Les ondes EM se sont-elles ainsi densifiées jusqu’à accroitre la température de l’univers ?

La température de l’ordre du milliard de degrés, et une concentration d’énergie ont provoqué l’apparition de matière dans tout le volume concerné par ces flux «d’ondes ou d’énergie» cosmiques.

La température (gaz, H, He, Deuterium, tritium, …) de fusion qui règne au sein des étoiles et des galaxie peuvent confirmer cet état d’énergie élevée.

C’est semble-t-il ainsi que sont nés les quarcks et autres forces électroniques, lesquelles ont alors fusionné et formé des protons+, des neutrons (0), et des électrons libres, ce qui certes ne changera pas le prix du beurre aujourd’hui toujours formé de ces matières, organisées en corpuscules des milliers de fois plus grand, que sont les atomes, du plus petit au plus grand, aussi, …

FAIT établi

L’univers s’est à son origine transformé en un nuages de gaz d’atomes simples (H, He) et qui peut être contenait aussi des atomes lourds (1 > 136 ou 137)

Ce sont eux que l’on retrouve à majorité dans l’univers des étoiles. Le reste de l’univers est formé de matière sombre (ondes et atomes ou électrons libres en déplacement)

Une fusion au coeur d’atomes se suit logiquement d’un refroidissement. Cela a ainsi provoqué l’arrivée des atomes primaires (H, He, en fusion) qui constituent de la composiiton principales des étoiles.

Entre eux, à leur niveau global, les atomes peuvent interragir, se lier, poussés par les souffles de chaleur et selon les conditions ambiantes. Selon leur taill et leur arrangement électroniques, les atomes sont parfois à même de se transformer en atomes voisins plus gros, plus petits, ou en molécules (oxygène, azote, eau, oxydes, Li, Be, C,CO, CO2.)

Des explosions au sein des étoiles en fusion, des superétoiles ou supernova, ont également pu induire toute une série de plus gros atomes dont certains (et tous ceux dont le nombre de proton est supérieur à 86 et inférieur à 137) ont la propriétés de se transformer tout seuls en d’autres atomes, et provoquant à nouveau des rayonnements alpha ou Beta (Helium, demi-helium, ou électrons). Le cycle des atomes est ainsi établi.

Issus d’explosions, des rejets de la taille d’une planète, des astéroides, ou autres, peuvent aisni se retrouver en orbite (toujours mu par les forces d’attractivité et de répulsivité des ondes initiales), se retrouvant dans une partie de l’univers plus froide, maintenue à une certaine distance des étoiles

C’est ainsi que les conditions normales de température et de pression, et de gravité, ont «parfois», et c’est le cas sur terre – la chance de pouvoir provoquer une évolution d’atomes et de molécules complexes,

jusqu’à des systèmes auto maintenus, interdépendant, métabolistes, qui semblent aussi se reproduire

Principe même de la vie, n’est-il ?

 

 

Hypothèses

H1. Des flux d’ondes ou de particules quantiques en situation de températures extrêmes (milliards de degrés) – ont «fusionné», provoquant l’apparition de MATIERE primaire en recherche de perpetuel équilibre.

(P.S: C’est ce que le Cerm tente brièvement de réaliser en séparant les particules atomiques, jusqu’à provoquer des collisions individuelles entre deux particules séparées qui déploient des milliards de degrés. Sufffisant pour créer -t-il de la matière et un mini-trou noir ! ou un déragement du système environnant? cqfd.)

H2. Une explosion aurait-elle pu provoqué un arrangement interstellaire et intergalactique aussi précis dans les forces gravitationnelles et d’inertie). Non, bien que l’univers semble avoir une centre, son mouvement et son arrangement «spatial» exclu cette probabilité.

H3. Une fusion multiple (explosion spatio-multiples, la ou la densité d’ondes est plus forte) de particules élementaires cosmiques (ondes), provoquée par une température élevées

Hypothèses 2 – j’aime bien

1. Il se pourrait que l’univers se soit aussi formé grace à deux entités, imbriquées, en mouvement, mu par des forces d’attraction, de répulsion et centrigfuges (=d’inertie presque totale) (mouvement perpetutel dans un sens, et direction d’un trou, porte imbriquée du second.

2 A la facon d’un atome qui capte la lumière, ces deux entités se sont développées, et la matière multipliée pour aboutir à l’univers que nous PERCEVONS. Le faisceau d’ondes projeté par les entités serait alors à même de concentrer l’énergie et les températures pour former de nouvelles matières.

3. Rappelons encore que ce que nous voyons dans ces confins est en fait ce qui s’est passé il il a des millions à des milliards de milliards d’années ! Le temps que la lumière nous parvienne !!!!

4. Aussi, à des milliards d’années de là, au centre de l’univers, il se pourrait qu’il n’y ait que deux particules imbriquées l’une dans l’autre et qui à la fois s’attirent et se repoussent. Un trou noir ne serait dès lors que le lieu de passage d‘un «univers» à l’autre, un point ou les forces de gravités et d’attraction sont mutuellement neutralisées. Et il y aurai autant de petits univers imbriqués que de trous noirs, mais certes, deux originels.

Donc l’avant fut il peit-être une évolution à la chaine entre deux particules originelles qui tournoient sur elles-même tout en étant imbriquées, qui provoquant des ondes EM qui deviendront matière une fois les conditions de températures réunies (concentration).

FAITS ETABLIS

– Minuscule (ondes ou entités primaires) ou déja immensément grand (ondes en mouvement orbital), l’univers se trouvait lors de son apparition à des températures extrêmes.

– Les galaxies sont toujours formées d’étoiles qui contiennent avant tout des gazs en fusion, principalement de l’hydrogène et de l’hélium en fusion, les premiers atomes!

– Parmi les étoiles, certaines ont des températures de fusion (CTP) permettant l’apparition d’atomes plus gros, et expliquant la série des éléments existants.

– Les planètes sont toutes des petits morceaux arrachés ou crachés par les étoiles, en orbite. Il leur reste bien souvent une fusion interne, sans quoi la planète serait «un caillou glacé».

– On trouve dans l’univers des échelles de température de -271K dans ces confins et de plusieurs milliards de degrés au sein des coeurs d’étoiles.

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Il est peu courant de commencer par la finalité de l’ensemble, mais voici imagé et d’entrée quelques tableaux pour résumé les développement de ce que tente d’aborder ce présent travail.

 

SCIENCE UNIVERSELLE, de l’infiniment petit à l’infiniment grand…..